Anne-Florence Bourat est candidate aux élections législatives sous l’étiquette Les Républicains – UDI sur la circonscription 4 de la Vienne.
Présentation. Je suis née à Amiens. J’ai fait mes études de médecine à Amiens et Paris. J’ai réalise mon internat dans le Sud pour, avec mon mari, au moment de l’installation en 1997, arriver sur Châtellerault. J’ai quatre enfants, je suis médecin scolaire depuis 1999 sur le territoire de Châtellerault, allant jusqu’à Dangé-Saint-Romain ou Saint-Gervais-les-Trois-Clochers. J’exerce dans les écoles, collèges et lycées du territoire. Depuis 2008, je suis élue à Châtellerault, en charge de l’éducation. En 2010, j’ai intégré la communauté de communes sur la problématique de l’emploi et de l’insertion, puis en 2014 des équipements culturels. J’ai été élue conseillère départementale en 2015, vice-présidente en charge de la santé. Les élections législatives sont une suite logique dans mon parcours. Aujourd’hui, avec cette expérience, je porterai les dossiers territoriaux au national.
Economie. Je suis pour une baisse des impôts, pour que chacun puisse avoir une vraie augmentation de son pouvoir d’achat. L’augmentation de la CSG est en cela une aberration.
C’est aussi avoir une véritable vision du financement des politiques publiques. La suppression de la taxe d’habitation ne va faire qu’amputer les élus locaux de leur capacité à maintenir les services de proximité sur le territoire. La suppression du RSI, la défiscalisation des heures supplémentaires, la baisse des charges pour les entreprises sont aussi des mesures attendues. Les problématiques liées à l’emploi sont une de mes priorités. Le bassin Châtelleraudais montre des capacités de rebond intéressantes, mais la baisse des dotations ne permet pas aux élus de les soutenir à leur juste mesure. Un des enjeux primordiaux pour l’attractivité du territoire et le développement de l’emploi, est le maintien et la hausse du nombre d’arrêts de la LGV à Châtellerault. Quand je milite pour l’hôpital de Loudun, je défends l’accès à tous à la santé et l’emploi local. Il y a une vraie vitalité dans les zones économiques plus rurales. Economie et ruralité ne sont pas antinomiques. Au contraire, les jeunes et les nouvelles économies ont toute leur place à jouer dans ces territoires. Il faut valoriser cette qualité de vie.
Projets de lois. La santé bien sûr me tient à cœur, mais aussi l’éducation, l’accès à la culture. Un sujet qui me préoccupe grandement en ce moment est la situation des agriculteurs. De manière silencieuse, chaque jour, ils rencontrent des difficultés énormes, mais continuent avec courage. C’est scandaleux de les laisser ainsi. Nous devons les aider.
Suppléant : Bruno Belin
Facebook : anneflorencebourat2017