Dans le nord Deux-Sèvres, depuis 1926, les Carrières Roy exploitent deux sites et produisent 3 millions de tonnes de granulats par an pour la construction routière. Aujourd’hui, 40 % de leurs ventes partent par train et ce pourcentage pourrait être plus important si la ligne de fret Saint-Varent/Parthenay n’était pas fermée.
Dans le nord Deux-Sèvres, depuis 1926, les Carrières Roy exploitent deux sites et produisent 3 millions de tonnes de granulats par an pour la construction routière. Aujourd’hui, 40 % de leurs ventes partent par train et ce pourcentage pourrait être plus important si la ligne de fret Saint-Varent/Parthenay n’était pas fermée.
Dans le nord Deux-Sèvres, le site de la Noubleau (200 ha), près de Saint-Varent, est en activité depuis 1926. L’entreprise démarre avec Alphonse Roy, qui commence sur des terres familiales et exploite la roche pour sa dureté et sa résistance, parfaite pour les travaux publics. Au fil des années le site a su évoluer. Aujourd’hui, sur 2019, 2,3 millions de granulats ont été extraits. Le deuxième site, à une dizaine de kilomètres, sur Mauzé-Thouarsais, à la Gouraudière (170 ha) a été acquis en 1951. A eux deux, ils produisent 3 millions de tonnes de granulats en moyenne. Avec ces volumes, les Carrières Roy figurent dans le top 3 des des acteurs en France.
Au loin, des monticules noirs se détachent du paysage. Les sites appartiennent au Massif armoricain avec des roches très dures (granites, diorites …). La société emploie 85 personnes. Le concassage et le criblage permettent d’obtenir différentes granulométries qui sont ensuite envoyées sur les chantiers. La production est destinée à la construction routière, mais aussi aux ballast des lignes de chemins de fer, ainsi qu’à l’industrie du béton prêt à l’emploi. L’entreprise est détenue par deux co-actionnaires : Colas et Eurovia. « Nous alimentons la région parisienne, la Picardie, le Centre et l’Aquitaine, avec notamment Bordeaux, indique Dominique Billon, directeur général des Carrières Roy. Nous sommes idéalement situés entre les bassins parisien et aquitain, qui n’ont pas sur place de roches de cette dureté et de cette qualité. »
Actuellement, 40 % des ventes partent par trains, mais le pourcentage pourrait être plus important. Depuis fin 2015, la ligne Saint-Varent/Parthenay est fermée, obligeant le groupe à trouver des solutions alternatives.
Retrouvez la suite de l’article dans le n°4 du 23 janvier 2020.
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