Nous avons tous des points forts qui ont fait notre succès. Ils sont à la base de notre réussite et constituent souvent notre propre savoir-faire.
C’est ce qui nous différencie généralement de la concurrence. Aussi étonnant que cela puisse paraître, il ne faut pas hésiter à mettre en avant ses points faibles afin de se mettre en difficulté. C’est ainsi que de nouvelles perspectives de développement apparaîtront. Des aspects inexplorés ou tout simplement mal explorés ne doivent pas constituer un frein au développement d’une entreprise. N’est ce pas en créant une gamme de maroquinerie alors inexistante chez Dior que Bernard Arnault a contribué au redressement de cette marque qui était sur le déclin? Soyez audacieux! N’ayez pas peur d’innover! Si cela choque c’est que vous êtes sur la bonne voix …
A travers cet exemple il faut garder une chose essentielle à l’esprit: il faut avoir confiance en soi. Nous évoluons dans une société où la concurrence est rude et impitoyable. Il n’y a pas de place pour le doute sous peine d’être vite remplacé et obsolète. Mais avoir confiance en ses capacités et ses produits ne met personne à l’abris de l’échec.
Se remettre en question
Lorsqu’un individu est confronté à l’échec, il me vient une seule et unique réponse: il faut savoir se remettre en question. Cela passe par différents aspects. Tout d’abord, il faut utiliser son expérience personnelle et professionnelle à son avantage. C’est ainsi qu’il ne faut pas hésiter à changer totalement de stratégie, même si celle ci ne vous paraît pas naturelle au premier abord. La technologie évolue et parfois il faut savoir vivre avec son temps. Avoir plusieurs avis consultatifs peut s’avérer salvateur dans de nombreux cas. Etre seul décisionnaire limite le champ d’action dans lequel on peut être efficace et surtout indispensable.
Gérer l’échec peut donc s’avérer périlleux mais il faut toujours garder à l’esprit que l’échec est avant tout une notion définie par notre environnement. Ce n’est en aucun cas à vous de clamer haut et fort que vous avez échoué. Au contraire il c’est bien la société qui défini l’échec d’un individu car celui ci ne rentre pas dans les ‘normes du succès’ communément acceptées.Vous pouvez et vous devez avoir votre propre définition du succès. C’est essentiel à mes yeux car cela cultive votre originalité et votre savoir faire. Dès lors il vous appartient de célébrer votre succès comme vous l’entendez.
Exprimer sa joie
Cette célébration du succès apparaît comme une validation de votre travail. Nombreuses sont les entreprises qui affectionnent les repas de fin d’année afin de célébrer leurs bons résultats annuels. Cette démarche me semble vitale. Cela ne fait que bonifier la cohésion au sein du groupe car ce dernier prend conscience qu’un objectif commun peut être atteint et que cela peut être fort agréable. Comme nous l’avons évoqué auparavant, il en résulte un environnement de travail positif … De ce fait, la démotivation au travail n’est pas un frein au développement et aux résultats. Le sentiment de routine est alors exclu laissant place à une plus grande productivité. Et de nos jours, être productif c’est exister !
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